.......... d'histoires ..... drôles !
Question d’âge :
Histoire d'amour ?
Entre
PARIS et MARSEILLE, un homme et une femme qui ne se connaissent pas doivent
partager une même cabine de wagon-lit.
Bien
qu'un peu gênés d'avoir à partager autant d'intimité, les deux sont fatigués et
tombent bien vite endormis ; lui sur la couchette du haut, elle sur celle
du bas.
Vers
1 heure du matin l'homme se penche au dessus de la couchette du bas et réveille
la dame :
Madame...Madame,
excusez moi de vous déranger, mais j'ai terriblement froid. Et auriez-vous la
gentillesse de me donner la couverture qui se trouve dans le casier ?
J'ai
une bien meilleure idée, répond la femme, et faisons semblant que nous sommes
tous deux mariés juste pour cette nuit. Ça vous va?
Quelle
idée intéressante vous avez là s'exclame l'homme, et je suis bien d'accord !
Bon
alors, dit-elle :
«va la chercher toi-même
ta couverture et fais pas chier !»
Savoureux ! (et dans l’anonymat)
Lors d'un
échange entre les deux rivaux politiques :
‐
Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez
sur l'échafaud ou de la syphilis.
‐
Cela dépend, monsieur si j'embrasse vos
principes ou votre maîtresse
Une lady apostrophe un lord :
‐
Monsieur, vous êtes ivre !
‐
Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais
moi, demain, je serai sobre !
Promenade au
cimetière :
‐
Et quand vous y serez, sur la vôtre on
pourra écrire : Enfin raide !
‐
Question qui
tue ! :
‐
Merci de m'avoir envoyé votre livre, je
l'ai adoré. Mais dites-moi, qui vous l'a écrit ?
‐
Je suis ravi que vous l’ayez apprécié.
Mais dites-moi, qui vous l'a lu ? »
Un homme fort
laid :
Aussi sa femme
le trompait sans vergogne. Un jour, en partant, il lui dit :
‐
Madame, je vous recommande de ne pas me
tromper pendant mon absence
‐
Monsieur, vous pouvez partir tranquille :
je n’ai envie de vous tromper que lorsque je vous vois.
Entre le gros
….. et le maigre :
‐
À vous voir, tout le monde pourrait penser
que la famine règne en ce pays
‐
À vous voir, tout le monde pourrait penser
que c'est vous qui en êtes la cause
Du droit des femmes :
‐
Monsieur, si j’étais votre épouse, je
mettrais du poison dans votre verre !
‐
Eh bien moi, madame, si j’étais votre
mari, je le boirais !
Question de principe !
‐
Être chauve, est-ce un handicap ?
‐
Je suis chauve, mais j'ai une queue de
cheval !
Des cabotins :
‐
Si Molière voit comment tu interprètes son
Don Juan, il doit se retourner dans sa tombe !
‐
Comme vous l'avez joué avant moi, ça le
remettra en place …...
Deux infirmes (strabisme et pied bot
par exemple) :
‐
Comment allez-vous, monsieur ?
‐
Comme vous voyez, madame !
Chambre à part :
‐
Votre défunt mari va beaucoup vous manquer
‐
Peut-être, mais au moins, je saurai où il
passe ses nuits
‐
Combien d’années me donnez-vous ?
‐
Pourquoi vous en donnerais-je, madame ? N’en
avez-vous donc pas assez ?
Que de tact :
L’hôte présente la cave à cigares aux
invités ; l’un d’entre eux en met cinq dans sa poche ….
- C’est pour la route !
‐ - Merci d’être venu d’aussi loin !!!
Histoire de blonde !
Sur le vol Paris - New York, un steward tente en vain
d'expliquer à une blonde qu'elle est assise en première classe avec un billet
de seconde.
La belle ne bronche pas et répond seulement : " Je suis
blonde, je suis belle et je vais à New York... "
Désespéré, le steward demande a une collègue de s'en occuper,
pensant qu'entre femmes, elles se comprendraient mieux.
L'hôtesse a beau expliquer et demander à la blonde de rejoindre
sa place en seconde, elle se heurte toujours à : " Je suis blonde, je suis
belle et je vais à New York...".
On fait appel au commandant de bord qui, autoritairement et très
professionnellement explique à son tour que la petite dame n'est pas à sa
place, mais là, toujours la même réponse : " Je suis blonde, je suis belle
et je vais à New York... ".
Le commandant retourne, dépité, dans le cockpit où il raconte
tout au copilote.
Ce dernier se propose d'aller parler à la dame car, dit-il, sa
femme est blonde aussi.
Il va donc voir la femme, lui dit quelque chose à l'oreille et,
miracle, la blonde se lève, prend ses affaires et va retrouver sa place en
seconde.
Sous les regards incrédules de ses collègues, il retourne dans
le cockpit et dit : " Oh ! Ce n'est pas sorcier. Je lui ai simplement dit
que la première classe n'allait pas jusqu'à New York... "
C'est tout pour aujourd'hui !