Faut-il réaliser nos actifs, et aussi gare aux plus values, car quelques parties communes peuvent être classées en résidence secondaire - nous pensons que l'initiatrice (Madame Suberbère) nous affranchira et motivera cette option
Mais l'article 26 penche-t-il vers l'unanimité, soit mission impossible ?
Les POINTS 28 à 30 déclinent la "Totale" avec l'option d'un nouveau copropriétaire et son lot (quid des places de stationnement) - le déclassement (interdit au logement) doit être vérifié
A bien y réfléchir, que ferions nous de 180 000 euros ? quelques travaux d'embellissement sans doute !
Notre dernière AG a laisser filtrer des propositions, comme salle de soins pour les vénérables anciens (que nous devenons un peu tous et tous les jours ...) et aussi, en ragot de parvis, pourquoi pas une salle commune conviviale et ouverte à la communication qui nous fait bien défaut
Le POINT 31 propose, malgré leur acceptation tacite, de réviser les répartitions faites par notre ex syndic, démissionnaire en 2011 - le cas le plus "criant" concerne la facturation des 117 compteurs d'énergie qui en résumé a entraîné un supplément de 10 % par appareil réellement imputé - quelques litiges également sur les facturations des poses sur devis ; le dossier émetteur sera à reprendre par le nouveau syndic, tant les écritures de Ceyrat restent "abradacabrantesques" avec des chèques encaissés, non affectés au compte de l'acheteur et/ou des équilibrages stupides - le coût de revient évoqué lors de l'AGE de novembre dernier semble valide, mais les corrections d'écriture ne peuvent passer, en principe, qu'avec l'acceptation d'une reprise des répartitions 2010
Les POINTS 32 et 33 expriment deux approches avec d'une part la suspicion sournoise et d'autre part une méthode rationnelle :
- il est clair que la relève des compteurs (eau froide ou autres) ne peut être que de la responsabilité du Syndic ; selon les outils, il fera ou fera faire cette relève par qui bon lui semble
- toute relève se doit d'établir une consolidation, c'est à dire comparer la somme des consommations individuelles avec une donnée générale (compteur principal ou autre méthode) - de même, un jugement de valeur vis à vis de l'historique peut être effectué
Avec le recul, nous pouvons penser que bien des aléas ont été négligés comme l'erreur d'origine de la mauvaise affectation d'un compteur à son "utilisateur" - certes pour ce cas des solutions amiables existent, mais que faire sinon partager quelques ardoises tant 3000 euros de chauffage qui vont se renouveler ou 1500 à 2000 euros d'eau pour des contestations plus fondamentales
Je ne parlerai pas du scandale du chauffage, avec le choix entre le forfait ou un fonctionnement invalidé d'un compteur .......... inapproprié
L'ultime POINT 34 est le bienvenu et utile à de saines discussions et autres propositions ; souhaitons que le temps imparti reste ouvert sinon suffisant ..............
FIN
FIN