EDITO

Il est surprenant qu'un simple blog, sans prétention, soit le bouc émissaire d'un échec. Dont acte et tournons une page, sans négliger nos fidèles lecteurs ..............

dimanche 24 avril 2011

Premier rappel de physique

Je ne veux pas vous harceler, ayant trop souvent essayé d'expliquer quelques petites choses simples et ayant échoué.
Cependant je recommence ............ avec un premier développement
Ainsi nous constatons en de nombreux appartements une chute du confort et l'explication en est aisée :
  • Les données nominales (normales) de fonctionnement sont spécifiées par les constructeurs, et pour la PAC et nos UTA, la température de l'eau en sortie pour la première et en entrée pour les autres doit être de 50 °C
  • Les critères d'exploitation retenu par Cofély sont 40 °C sans connaître leur motivation
  • Nous pouvons, comme un radiateur sur circuit d'eau, admettre et retenir que la puissance de chauffe (kWh pour un radiateur électrique) est au maximum, directement fonction (proportionnelle) à l'écart de température entre l'air du local et l'eau du radiateur : P = k x (T eau - T air)
  • Pour un local à 20 °C, l'écart "nominal" serait de 50 - 20 = 30 °C et l'écart "Cofély" de 40 - 20 = 20 °C
  • La perte de puissance est donc de ( 30 - 20 ) / 30 = 0.33 soit 33 % et chacun en subit plus ou moins les conséquences
Si vous me le demandez, je vous redonnerai le développement, tout aussi simplement (en tout cas j'essaierai),  qui explique pourquoi les critères d'exploitation sont également "catastrophiques", mais bien souvent au désavantage du syndicat, en terme de comptage d'énergie avec nos 120 nouveaux compteurs

Merci de votre patience