EDITO

Il est surprenant qu'un simple blog, sans prétention, soit le bouc émissaire d'un échec. Dont acte et tournons une page, sans négliger nos fidèles lecteurs ..............

mardi 29 mars 2011

Notre "Fukushima"

Je ne me permettrais pas de polémiquer avec les grandes difficultés de nos amis Japonais, mais, à l'échelle de notre petite collectivité, je vous propose la réflexion suivante :

  • Notre AGO 2009 a en particulier eu un débat relativement houleux concernant la gestion et maintenance de notre système chauffage / climatisation
  • Avec un président qui, pour ceux qui s'en souviennent, avait décliné toute responsabilité, nous avions voté un budget de 18000 euros au bon soin de Cofély
  • Dès fin juillet 2009, notre syndic passait tous les ordres
  • Le 6 août 2009, le remplacement des vannes d'arrêt était annulé sur décision de "R. Lenfant qui a constaté le parfait fonctionnement" de ces dernières (extrait du courrier à Cofély)
  • Courant décembre 2010, l'appartement de notre président a vu un début d'inondation, avec toute la pollution (eau noire) du circuit suite au déboîtement d'un raccord d'entrée ; le bon fonctionnement de la vanne d'étage a permis de limiter les dégâts ...............

Proposition :

  • Il est dommage que le contrat Cofély ne prenne pas en compte une manipulation périodique de ces organes d'isolement
  • Au niveau des bâtiments Aviso et Ar Men, en particulier, je me permets de vérifier de temps en temps l'aptitude à la manoeuvre  ......, un peu moins je le concède sur les autres bâtiments selon les "responsabilités" proposées par notre première commission chauffage qui à "avorté" avant l'AG 2009 ! 
  • Le principe d'une procédure de sécurité est absent (ce n'est pas le seul cas) de nos consignes et je pense que cela est le résultat de personnalités qui se veulent indispensables sinon mortelles
Constat du 28 mars 2011 :
  • Au minimum deux vannes sur les quelques testées n'ont pas pu être manoeuvrées - une a entraîné une résistance nécessitant l'usage d'un levier (et perte de temps considérable pour la fermeture)
  • Sans doute, Monsieur Lenfant avait oublié de constater depuis août 2009 ; il est vrai qu'il n'est pas défrayé, mais il suffit qu'il demande !